« Supporteras-tu sa mort ? Pourras-tu te passer de lui ? Que deviendras-tu sans lui ? Que devient un guerrier lorsqu’il perd son meilleur ennemi et que la lutte est terminée ? »

Note en cours de lecture : « Tu es à la page 135, et tu sais déjà que tu vas en prendre plein la gueule. »

Bah oui, c’est un Giebel : ça tape au cœur des sentiments, de la tripe, de la douleur et ça « peut tout broyer sur son passage .» (Marie-Claire)

Encore un bouquin de Giebel, un de ceux qu’il faut plusieurs minutes pour encaisser, pour reprendre respiration après 640 pages d’apnée. La passion amoureuse vue par Giebel, ça secoue un peu –épilogue compris.

Recommandé avec vigueur à toute personne qui croit encore à l’amour.