Et pan dans ta face. C’est la grande spécialité de Giebel, et c’est encore une fois particulièrement réussi : quand tu fermes le bouquin, tu es KO debout et il te faut plusieurs minutes pour recommencer à respirer…

Je parle bien de six cents pages de brutal, du concentré de haine et d’abomination qui broie tes émotions comme des jouets, qui joue avec tes espoirs alors que tu sais –tu le sais parce que tu connais l’auteure– qu’il ne faut pas croire à l’espoir…