Attention, l’extrait qui suit va vous faire mal aux yeux, si ce n’est ailleurs. Cachez les enfants… « Pour le reste, la jeune personne a été étranglée à mains nues après que je l’eusse sodomisée très violemment à l’aide d’un chausse-pied. Quant à la mention des mutilations, elle aussi bien vague, j’ai choisi de faire d’une pierre deux doups en choisissant ce chausse-pied qui a, je crois, convenablement détruit les muqueuses et répandu peu de sang. »
J’ai déjà commenté ce bouquin en 2016, en tant que premier volume de la trilogie « « Verhœven » – Pierre Lemaitre ». Je l’ai pourtant intégralement relu…
J’ai savouré à nouveau le style élégant, l’écriture affûtée et pesée, les phrases expressives. Et je me suis à nouveau fait retourner comme une crêpe par le scénario : c’est savoureux.
Ce n’est peut-être pas pour rien que ce livre a obtenu le Prix Cognac en 2006 !
