« Marquée à vie » avait pour mission de se montrer à la hauteur du bon Adler-Olsen que je venais de refermer. Et comme il serait suivi par un Thilliez, la barre était haute.
Il s’est montré à la hauteur de ces ambitions, en nous dévoilant immédiatement ce que la procureure –marquée à vie par une histoire qu’elle ignore– recherchera tout au long du bouquin.
Cette structure scénaristique présente bien sûr l’inconvénient qu’à la page 145 (sur 378) j’avais à peu près la fin de l’intrigue en tête, et j’étais tombé pas trop loin de l’arbre…
Un bouquin agréable qui ne m’a pas… marqué à vie.
Traduit de l’anglais (US) par Louis Poirier